Du fin fond du bocage nivernais, l'auteur nous parle de son quotidien d'artiste peintre. Il nous raconte son enfance espagnole, puis son adolescence à Paris et son passage à l'école des Beaux Arts, avant de s'installer définitivement dans la Nièvre, où il poursuit patiemment son travail de peintre paysagiste. Ce qui ne l'empêche pas de promener autour de lui un regard tantôt amusé, tantôt féroce et désenchanté sur notre planète et ses avatars. A la vue des incroyables bourdes et dégâts pour lesquels ils semblent avoir une sorte de génie, les hommes ont réussi, malgré leur arrogance et leur prétention, à devenir les bourrins de l'univers. C'est sans doute ainsi que doivent nous voir nos voisins extraterrestres : les ploucs de la Galaxie, c'est bien nous.


Editions Edilivre

Après Les ploucs de la galaxie, l’auteur nous fait partager au quotidien une année de la vie d’un peintre dans la campagne nivernaise où il vit depuis plusieurs décennies. Il nous parle de ses désillusions politiques, mais aussi de ses doutes d’artiste et de père de famille, de ses opérations de la main droite, et même de ses ennuis de chaudière en plein hiver. Une année comme une autre, en somme. « Il m’arrive de pisser de l’encre comme on crache son venin. D’autres fois je restitue des choses mal digérées comme on vomit son quatre heures. Non, je ne suis pas toujours satisfait de ma vie. Oui, c’est sans doute pour ça que je me suis mis à écrire. Ces pages ont été pondues d’une traite. Au jour le jour et selon mon humeur du moment. C’est du brut, des pages que je vous livre telles quelles, des plus innocentes aux plus méchantes, des plus délirantes aux plus désespérées. Je n’ai pas voulu les passer au crible de la retenue, au polissoir de la pertinence. Aussi il a dû s’y glisser pas mal d’inepties, des choses injustes, d’autres inexactes, et même quelques énormités... »